De la tête aux pieds en passant par les oreilles

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L’étymologie du mot punk est assez floue. Le terme désigne en Angleterre quelque chose « qui n’a pas de valeur » et aux États-Unis un bon à rien, un paumé. Il est employé dans les années soixante, pour désigner les groupes de rock répétant dans des garages aux États-Unis. En 1971, le critique musical Dave Marsh, est le premier à utiliser le terme de « punk rock » dans la revue Creem. Le mouvement va se développer principalement dans ces deux pays. Contestataire par nature, il s’inscrit dans une période de crise économique. Le punk prospère dans de nombreux squats alternatifs et autogérés, notamment dans le quartier de Hampstead à Londres. En France, le squat de Montreuil, L’Usine, naît en 1980 et prospère jusqu’en 1986. Ces groupes liés à différentes tendances anarchistes (anarcho-punk, peace punk) revendiquent l’autogestion. Le mouvement punk va promouvoir l’amateurisme musical, le do it yourself et la provocation ; dans son sillage, de multiples courants artistiques, tous plus décoiffants les uns que les autres. Une véritable postérité esthétique punk naît, sans cesse renouvelée jusqu’à nos jours. 

Don’t be told what you want
Qu’on te dise pas ce que tu veux
Don’t be told that what you need
Qu’on te dise pas ce dont tu as besoin
There’s no future there’s no future
Il n’y a pas de futur Il n’y a pas de futur*
There’s no future for you
Il n’y a pas de futur

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